Alors que les bénéfices de la marche pour les gens et la planète sont bien connus, il n’existe pas de consensus sur les manières dont l’environnement peut décourager la marche et leurs variations selon les individus. Dans ces conditions, comment utiliser de manière judicieuse les finances publiques et éliminer les barrières-clés à la marche dans un cadre urbain orienté vers la voiture individuelle? La question était au centre de cette recherche qui a identifié et développé un cadre théorique (“the social model of walkability”), mais aussi produit des enseignements pratiques pour un aménagement encourageant la marche pour des individus de différents âges et situations de handicap.
Les méthodes consistaient en revues de littérature, analyse quantitative des associations entre le potentiel piétonnier perçu et le niveau de marche (machine learning), analyse qualitative explorant les obstacles perçus à la marche ; triangulation des obstacles rencontrés, des mesures et des recommandations issues des lignes directrices ; et analyse qualitative des points de vue des professionnels sur les obstacles à la marche, la pertinence des normes en vigueur, et les obstacles à l’amélioration de l’espace piéton.
Les résultats incluent des aspects importants pour la recherche future et pour les pratiques en matière d’urbanisme, de planification des transports et de santé publique, notamment :
Je suis reconnaissante à mes superviseurs – professeure Erica Hinckson, professeure Melody Smith et Dr Tom Stewart, ainsi que beaucoup d’autres. Ma thèse est disponible ici et l’interview dans le podcast “PhD: Unpacked” à voir ici.
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